Tout le monde voudrait gagner de l'argent en plus de son salaire. Tout le monde absolument tout le monde essaye de se faire de la tunne au « noir ». A cote.
Tout le monde voudrait gagner de l'argent en plus de son salaire. Tout le monde absolument tout le monde essaye de se faire de la tunne au « noir ». A cote.
Puis aujourd'hui, c'est très facile il n'y qu'a taper sur google, se faire de l'argent et hop dix milles offres s'annoncent a vous.
Personnellement, je suis persuade que tout cela, c'est de l'arnaque. Pour ne pas dire de l'escroquerie. Mais passons. Je voudrais vous raconter ma petite histoire. Car après tout moi aussi je pensais qu'il était possible de se faire de l'argent facilement. Et oui, a un salaire en plus, je ne dirai jamais non.
C'était un jeudi soir, il y a peu près plus de six mois a Tel Aviv. Je buvais un café avec mon copain Roger, tranquillement sur la terrasse de YOYO dans la petite rue de Salomon. Lorsque soudainement mon téléphone sonna. La voix m'était connue mais je ne reconnaissais pas la personne. Puis elle se présenta : "Hey Philippe comment tu vas ? C'est Karine, la copine a Vero » (Véronique c'est mon ex d'il y a trois ans). Ok, ne comprenant pas le but de son appel je lui répondis que je me portais très bien et lui demandai a son tour comment elle se portait. Puis un petit « Small talk », comme disent les anglais, s'installa. Puis sans que je comprenne pourquoi elle m'invita a venir chez elle le soir même, pour « inaugurer dit-elle ma nouvelle entreprise. Il m'est important que des gens qui me tiennent a cœur soient la pour me féliciter et peut être même qui sait ? rajouta-t-elle, continuer avec moi." Flatte, ne comprenant toujours pas pourquoi ma présence lui fut importante, je décidai donc de venir boire un café.
Ma naïveté et ma duperie ne m'ont jamais joue un aussi mauvais tour. J'arrivai chez elle, en costume, des fleurs en main (on n'arrive pas dans une maison qui vous invite a boire le café main vide tout de même), a 20heures trente précises, comme elle me l'avait demande.
Elle m'accueille d'une façon plus que chaleureuse et m'invite a m'asseoir dans le sofa pendant qu'elle me prépare un petit crème. Curieux, je m'assied sur le canapé et salue les cinq autres hotes, qui eux aussi, sont gentiment assis sur le sofa bleu. Puis encore de ses amis entrent dans le salon, et c'est la que Karine nous remercie d'être venues et sort de deriiere sa télévision un tableau de professeur blanc que je n'avais pas vu depuis la sixième. Elle veut nous présenter son entreprise.
Sacre Karine, c'est la que je commence a comprendre que je vais perdre une heure trente de mon temps a écouter une nana qui s'est fait aveuglée par une société de vente pyramidale et qui pense qu'en vendant des gels vitamines, elle va devenir millionnaire, si ce n'est pas,selon elle millionnaire.
Pauvre karine. Et pauvres encore beaucoup de gens qui se font avoir, excusez moi le mot, par ces conneries. Pour ma part,je préfère dépenser mes sous au casino au jeu roulette
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Summary: "The Queen of Spades," a novella by Alexander Pushkin, translated by Prosper Mérimée and published in 1834, is a gripping tale set in St. Petersburg. It follows Hermann, a young German officer who becomes obsessed with uncovering a secret card combination that promises immense wealth. His quest leads to seduction, deceit, and ultimately, madness. This story, unlike Pushkin's earlier works, is neither folkloric nor historical but rather a captivating exploration of human folly and the dangers of gambling.